Venom : la raison mignonne pour laquelle Tom Hardy a accepté le rôle
Publié le Par Romain Cheyron
Venom est diffusé ce mardi 12 septembre sur TFX, l’occasion pour Serieously de vous dévoiler la raison pour laquelle Tom Hardy a accepté de participer à ce projet et prendre le rôle d’Eddie Brock et son alter-égo le symbiote noir.
Tom Hardy n’est pas un inconnu dans le monde cinématographique des super-héros. En 2012, il a incarné Bane dans The Dark Knight Rises, face au Batman de Christian Bale. Quelques années plus tard, on a pu le retrouver dans la peau d’un autre super-villain, un ennemi de Spider-Man cette fois-ci : Venom.
L’acteur britannique est-il un vrai fan des méchants des univers DC et Marvel ? Pas tout à fait… Dans une interview avec le site américain Variety en 2018, Tom Hardy s’est exprimé sur la véritable raison qui l’a fait accepter de rejoindre cette comédie noire et de devenir le fameux symbiote, aimé des fans de comics.
Venom, un vrai coeur d’artichaut
Il confie : « D’abord et avant tout, je suis un père. En tant que père, vous êtes confronté à un afflux massif d’histoires qui vous sont présentées, d’abord Sam le pompier, puis ensuite celles de Spider-Man, Venom ou encore Captain America. Mon fils est donc venu me voir pour me parler d’un personnage spécifique dont il est tombé amoureux. J’ai commencé à y jeter un coup d’œil et puis, comme par magie, un scénario est apparu à l’horizon.«
L’occasion parfaite pour Tom Hardy de faire plaisir à son fils : « Après avoir joué dans The Dark Knight avec Chris [Nolan], j’avais en quelque sorte fait mon bout de chemin dans l’univers des super-héros, mais quand on m’a donné l’occasion de jouer Venom – en corrélation avec l’amour de mon fils pour le personnage et à quel point il était cool – j’ai été vraiment, vraiment excité et j’ai décidé que je voulais le faire. »
Ainsi, Tom Hardy est devenu Venom pour le premier film sorti en 2018 au cinéma, sa suite Let There Be Carnage en 2021 et le troisième volet annoncé pour 2024, ou plus tard si la grève des scénaristes et des acteurs à Hollywood persiste.
Romain Cheyron
Journaliste