Les Bronzés, Rabbi Jacob : 10 répliques culte que les fans de films français connaissent forcément

Des Bronzés font du ski en passant par Les Aventures de Rabbi Jacob ou encore le cultissime Astérix et Obélix Mission Cléopâtre, retour en mots et en images sur 10 des répliques les plus emblématique du cinéma français.

Si vous êtes un(e) grand(e) amateur/amatrice de films français, alors vous êtes au bon endroit. La rédac de Serieously a compilé pour vous 10 répliques culte issues de films français, tous genres et toutes décennies confondus. Enjoy !

« Alors, si je peux me permettre de te donner un conseil, c’est : oublie que t’as aucune chance, vas-y, fonce ! On sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher. »

Film mythique de l’histoire du cinéma français, Les Bronzés font du ski (1979), deuxième volet de la saga Les Bronzés, est bourré de scènes et de répliques culte. Mais celle qui revient le plus souvent est incontestablement cette phrase signée Jean-Claude Dusse (Michel Blanc) et adressée à Bernard Morin (Gérard Jugnot). Quel fan des Bronzés ne l’a jamais sortie dans sa vie de tous les jours ?

« – Tu les trouves jolies mes fesses ? – Oui, très.

– Et mes seins, tu les aimes ? – Oui, énormément. »

Sans conteste l’un des passages les plus iconiques du cinéma français : la scène d’ouverture du film Le Mépris (1963) de Jean-Luc Godard. Dénudée, Camille (Brigitte Bardot) demande à son mari Paul (Michel Piccoli) ce qu’il pense de chacune des parties de son corps, et plus précisément s’il les aime (ses genoux, ses fesses, ses seins…). Et il lui répond « oui » à chaque fois.

« – Il s’appelle Juste Leblanc. – Ah bon, il n’a pas de prénom ? »

Peut-on faire plus culte et plus hilarant que cet échange entre Pierre Brochant (Thierry Lhermitte) et François Pignon (Jacques Villeret) dans Le Dîner de Cons (1998) ? 

« T’as d’beaux yeux, tu sais. »

Qui ne connaît pas cette citation devenue mythique et entrée dans le langage courant ? « T’as d’beaux yeux, tu sais » est issue du film Le Quai des Brumes (1938) de Marcel Carné et est prononcée par Jean (Jean Gabin) à l’attention de Nelly (Michèle Morgan). 

« Pas de bras, pas de chocolat ! »

Si cette expression était connue avant Intouchables (2011), le film d’Éric Toledano et Olivier Nakache l’a propulsée au rang de réplique culte du cinéma français. C’est Driss (Omar Sy) qui dit ça à Philippe (François Cluzet).

« Si j’aurais su, j’aurais pas v’nu »

Même ceux qui n’ont pas vu le film La Guerre des Boutons (1962) d’Yves Robert, connaissent cette phrase culte. Pourtant absente du roman de Louis Pergaud dont s’inspire le long-métrage, elle est prononcée par le Petit Gibus (Martin Lartigue) et a marqué tout le monde. 

« Comment Salomon, vous êtes juif ? Salomon est juif ! Oh ! »

Difficile de ne retenir qu’une réplique culte parmi tous les films de Louis de Funès, mais il faut bien avouer que cette phrase de Victor Pivert dans Les Aventures de Rabbi Jacob (1973) est restée dans les mémoires. Quand le personnage joué par Louis de Funès découvre que son chauffeur Salomon (Henri Guybet) est de confession juive, il est sous le choc… et précise : « Je vous garde quand même ! ». 

« – C’est une bonne situation ça Scribe ?

– Mais, vous savez, moi je crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation… »

Comment oublier le monologue d’Otis dans Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre (2002) ? Le personnage joué par Edouard Baer se lance dans un discours qui a marqué l’histoire du cinéma français en réponse à la question de Panoramix (Claude Rich)… et on ne s’en lasse pas.

« Les cons, ça ose tout ! C’est même à ça qu’on les reconnaît. »

Michel Audiard nous a offert bon nombre de dialogues savoureux et de répliques devenues culte dans le film Les Tontons Flingueurs (1963), et celle qui vient automatiquement en tête est évidemment « Les cons, ça ose tout ! C’est même à ça qu’on les reconnaît ». Elle est prononcée par Fernand Naudin (Lino Ventura) à l’écran.

« T’es le roi des cons au pays des emmerdeurs. »

Ah Caroline (Joséphine de Meaux)… Personnage le plus culte du tout aussi culte Nos Jours Heureux (2006), elle enchaîne les répliques hilarantes dès l’instant où elle se lâche et fait ressortir toute la rage qu’elle a en elle. On se souvient notamment de son « T’es le roi des cons au pays des emmerdeurs » et de son pétage de plombs qui s’en suit.