Titanic : ce détail très précis sur le naufrage qui va vous faire voir le film autrement
Publié le Par Alexis Savona
James Cameron est connu pour ne rien laisser au hasard dans ses films. Surtout dans Titanic, qui est évidemment une histoire d’amour mais avant tout un film historique. Pour raconter la romance entre Jack et Rose, le réalisateur a voulu être au plus près de la réalité. Et ce détail dans le long-métrage en est la preuve !
Véritable carton au box-office, Titanic continue aujourd’hui encore à surprendre les nouvelles générations, mais aussi les anciennes grâce aux nombreux détails cachés. Car il était impensable pour James Cameron de ne pas coller à la réalité des faits lors de la conception de son chef-d’oeuvre. S’il a par exemple glissé plusieurs détails historiques au cours du film, le réalisateur a pris soin de coller son intrigue aux heures précises de la catastrophe.
Les heures ne sont pas laissées au hasard dans Titanic
Grâce aux investigations et aux éléments rapportés sur le naufrage, nous connaissons aujourd’hui le déroulé exact de la catastrophe. Nous savons par exemple que le Titanic a heurté l’iceberg à 23h40 très précisément.
Un élément important pour James Cameron qu’il a d’ailleurs utilisé dans le film. Lorsque le paquebot de rêve s’apprête à percuter l’iceberg, les officiers lancent le signal d’alarme. Et si on regarde l’arrière-plan, on peut remarquer qu’une horloge est à 23h40.
Ce n’est pas la seule fois où James Cameron s’amuse avec les heures. À la fin de Titanic, lorsque Rose meurt dans son sommeil et qu’elle rejoint Jack dans l’au-delà, on peut voir que l’horloge derrière le personnage de Leonardo DiCaprio est arrêtée à 2h20. Heure exacte où le bateau a sombré dans les eaux glacées de l’Atlantique Nord.
Si ces détails prouvent que James Cameron ne laisse rien au hasard, ce dernier n’a malheureusement pas pu passer à côté de quelques erreurs. Par exemple lorsque le paquebot de rêve coule dans l’océan et que les passagers glissent dans les eaux sombres, on peut voir que les cascadeurs sont attachés à des planches à roulettes.
Alexis Savona
Rédacteur en chef adjoint
