The Vampire Diaries : Michael Trevino parle de sa difficile transformation en loup-garou
Publié le Par Eliott Azoulai
La transformation de Tyler Lockwood en loup-garou n’a pas seulement été difficile à vivre pour le personnage de The Vampire Diaries. Elle fut également éprouvante pour son interprète, l’acteur Michael Trevino. Découvrez les confidences de ce dernier.
Si The Vampire Diaries a tiré sa révérence il y a maintenant trois ans, la série continue de faire parler d’elle. Il faut dire qu’elle a duré 8 saisons et passionné des millions de fans à travers le monde. Que ce soit pour ses personnages, ses histoires d’amour ou encore sa mythologie. Car, dans The Vampire Diaries, on retrouve aussi bien des vampires que des sorcières ou des loups-garous. Et Michael Trevino aka Tyler Lockwood en sait quelque chose.
« Ce fut un travail très émotionnel » pour Michael Trevino de The Vampire Diaries
Lors d’une interview pour Entertainment Weekly qui remonte à 2015, Michael Trevino s’est confié sur les difficultés rencontrées lors du tournage de sa scène de transformation en loup-garou. « Le processus s’est fait avec Marcos Siega (réalisateur, ndlr) et a duré deux longues journées de 12 heures. Ce fut un travail très émotionnel. C’était un marathon. Il y avait des points très spécifiques comme quand je me casse une jambe, ou quand je me casse un bras, ou encore quand je m’énerve et grogne – donc ce fut deux journées très longues et épuisantes » raconte l’acteur de The Vampire Diaries.
Pour rappel, c’est dans l’épisode 7 de la saison 2 que Tyler déclenche la malédiction, lui qui est issu d’une lignée de loups-garous, en tuant accidentellement une jeune fille. Michael Trevino poursuit : « Et heureusement, à partir de la saison 3, puis de la saison 4, c’est devenu plus facile. Il fallait juste que Tyler court dans une allée noire et revienne en loup-garou. Nous n’avions pas à montrer spécifiquement ce qui lui arrivait ».
Comme quoi, les transformations d’acteurs pour un rôle sont parfois (beaucoup) plus difficiles qu’on ne peut l’imaginer.
Eliott Azoulai
Journaliste