The Vampire Diaries : 5 faits sur les vampires qui n’ont (toujours) aucun sens

Comme son nom l'indique, la série culte The Vampire Diaries a fait la part belle à une créature intrigante : le vampire. Et si ce concept a quelques principes de base irréfutables, la série portée par Ian Somerhalder et Paul Wesley s'est offerte quelques libertés. Zoom sur 5 faits sur les vampires dans le show de Julie Plec qui manquent de bon sens.

Et si The Vampire Diaries s’était un poil éloigné de la mythologie du vampire ? La preuve avec ces 5 faits affirmés dans la série qui ne sont, pas toujours, sensés.

L’alcool tempère la faim des vampires

On a bien compris l’attache particulière des Salvatore à l’alcool (coucou le Bourbon de Ian Somerhalder et Paul Wesley), mais s’il y a bien une chose qui nous questionne encore c’est : pourquoi (et comment ?) l’alcool peut-il tempérer la faim des vampires ? Dans Twilight, par exemple, on ne dit pas que ça fait beaucoup plus de sens, mais les Cullen tempère leur faim de chair humaine par un substitut végétarien et mangent généralement des animaux. Chez les Salvatore, on calme ses envies de sang par de l’alcool. Il est mentionné dans la série que l’alcool peut apaiser les fortes envies de sang. Mais avouons que c’est un peu, heu, particulier ?

Les vampires sont comme un bon vin : ils deviennent plus forts avec l’âge

En soi, cet adage n’est pas totalement insensé. Ce qui l’est plus, en revanche, c’est que les vampires se trouvent cristallisés à un certain âge de leur vie humaine. On est tous d’accord avec ça. Dans cette optique, le corps aussi des vampires devrait continuer à être identique, comme si le temps s’était véritablement arrêté. D’autant que ce fait là n’est jamais véritablement expliqué dans The Vampire Diaries. Mais ce n’est pas tout, lors de différents combats au cours de la série, on peut voir que la balance du « le vampire le plus vieux est le plus fort » n’est pas toujours respectée. Et on ne le sait que trop bien, ce qui n’est pas expliqué donne lieu à un bon vieux plot hole !

Les vampires peuvent porter des enfants

L’histoire de Caroline Forbes est, dans The Vampire Diaries, un long trajet peuplé de rebondissements. Et pourtant, l’une des intrigues qui nous fait le plus se poser des questions reste sans doute sa grossesse. D’abord tuée par Katherine puis transformée en vampire grâce au sang de Damon, Caroline (Candice King) va finalement porter en elle les jumelles Josie et Lizzie, filles d’Alaric et de Jo Laughlin. Plusieurs choses sont ici surprenantes : une vampire, attendre des enfants ? Première nouvelle. Ensuite, comment peut-on expliquer qu’une vampire se retrouver à porter les enfants d’un humain et d’une sorcière ? Et, surtout, comment peuvent-ils vivre dans le corps techniquement « mort » de quelqu’un ? On a probablement loupé un épisode…

Un effet néfaste sur le cancer dans The Vampire Diaries

On a bien compris que les vampires avaient des propriétés différentes des humains. Et leur sang peut parfois aider dans certaines situations et notamment pour être utilisé comme remède pour bon nombre de maladies. À l’exception d’une chose : le cancer de Liz Forbes, la mère de Caroline. Si Caroline tente d’utiliser ses pouvoirs pour sauver sa mère, contre toute attente cela ne fonctionne pas. Pire encore, cela semble faire empirer les choses… Insensé.

Les émotions humaines dans The Vampire Diaries

L’un des gros concepts développé dans The Vampire Diaries, est la possibilité de mettre sur une sorte de pause les émotions humaines. Après tout, les vampires étaient aussi des humains avant de devenir des créatures assoiffées de sang. Dans la série, il est clair qu’un vampire qui a choisi de mettre sur pause son accès aux émotions continue d’en ressentir tout de même…La plupart des vampires de la fiction ont une soif de vengeance et une certaine rage en eux, mais cela ressemble pas mal aux émotions humaines, non ?

Ça coince : quitte à aborder les émotions humaines, The Vampire Diaries aurait probablement pu (et dû) prendre un soin tout particulier à spécifier quelles étaient, au contraire, les émotions non humaines que ressentaient les vampires. À défaut, cette intrigue a générer un joli non-sens.