The Affair : comment la saison 4 est différente des précédentes
Publié le Mise à jour le Par Romain Cheyron
A l'occasion de la sortie en DVD de la saison 4 de The Affair, Serieously vous explique comment et pourquoi elle est différente des trois précédentes.
Changement de décor
Si les 3 saisons précédentes se déroulaient surtout à New York et Montauk, lieu principaux des drames et des conflits, cette quatrième saison change un peu de décor. Helen déménage à Los Angeles pour suivre Vic, qui a obtenu une place de chirurgien sur la côte ouest des Etats-Unis. Un changement de vie qui en amène un autre, puisque Noah décide lui-aussi de quitter New York pour Los Angeles, pour être le plus proche possible de ses enfants. Evidemment, l’adaptation n’est pas facile.
Elle se recentre sur les 4 personnages principaux
La saison 3 s’était un peu perdu en offrant plusieurs points de vue en dehors de Noah, Helen, Alison et Cole. Avec cette saison 4, on revient aux fondamentaux. La construction est toujours la même, avec deux points de vue différents par épisode. Elle permet à la série d’éviter de trop s’éparpiller, et véritablement centrer l’émotion sur le quatuor principal. Mais surtout, la saison 3 avait emmené tous les personnages au plus bas possible, et la saison 4 essaye de leur apporter un peu de bonheur, notamment avec les premiers épisodes et les changements de vie.
Un tout nouveau mystère
Les deux premières saisons de The Affair se concentraient sur la mort de Scotty. Qui avait bien pu le tuer, et est-ce que c’était un accident ou un meurtre ? La révélation a eu d’énormes conséquences sur la suite du récit, explosant toutes les relations et changeant définitivement la dynamique entre tous les personnages. La saison 4 débute avec un nouveau mystère, la disparition d’Alison depuis 72h, dévoilée dès le premier épisode. Un flashforward de six semaines et on découvre Noah et Cole se rendre ensemble à Montauk pour mettre la vérité en lumière. On vous laisse découvrir la suite, avec le coffret DVD de la saison 4, maintenant disponibles.
Romain Cheyron
Journaliste