Shadowhunters ne sera pas sauvée, la fin de la série est maintenant officielle
Publié le Mise à jour le Par Romain Cheyron
Les fans se mobilisent dans le monde entier pour sauver Shadowhunters, que ce soit sur Twitter ou dans les villes importantes (à l'image de New York, Londres et Séoul). Pour autant, le producteur a confirmé que la série est définitivement terminée.
Les fans doivent faire leurs adieux à Shadowhunters. Alors que la campagne pour sauver la série a récemment pris une ampleur mondial, et continue de rythmer le quotidien de Twitter, Martin Moszkowicz, le producteur, a annoncé officiellement la fin de Shadowhunters, expliquant que la version, telle que les fans la connaisse, ne peut pas continuer. Aucune chaîne, ni plateforme n’a décidé de la reprendre pour lui offrir une saison 4.
« il n’est pas possible que cette version de Shadowhunters continue »
C’est sur son compte Twitter qu’il a partagé un communiqué de presse : « A nos fans fidèles qui ont donné de la voix, qui ont tout fait pour que la série devienne aussi populaire qu’elle l’est aujourd’hui. Nous vous remercions de votre soutien sans limite. Malheureusement pour tous, Shadowhunters doit prendre fin. Alors que nous essayons de trouver de nouveaux moyens et de nouvelles incarnations pour amener le Shadow World aux fans du monde entier, nous sommes tristes de dire qu’après de nombreux efforts de toutes les parties impliquées, il n’est pas possible que cette version de Shadowhunters continue« .
Depuis l’annonce, les fans de Shadowhunters s’enflamment sur Twitter, et ont harcelé et insulté le producteur, qui a du mettre son compte en privée, pour éviter de recevoir un flot d’injures. Avec comme principal argument, la récente victoire de la série aux Teen Choice Awards dans la catégorie meilleure série fantastique/de Science-fiction.
Pour autant, les fans retrouveront Clary, Alec, Magnus et les autres personnages de la série en 2019 pour la deuxième partie de la saison 3 et une conclusion de 2h. Un épisode final qui va offrir une véritable fin à l’histoire.
Romain Cheyron
Journaliste