Pirates des Caraïbes : l’histoire insolite derrière la création du film
Publié le Mise à jour le Par Alexis Savona
La saga Pirates des Caraïbes est l'une des plus populaires de la franchise de Disney. Et si vous faites partie de ceux qui adorent voir et revoir les films, connaissez-vous réellement leur origine ? Attention, vous risquez d'être surpris !
Le premier volet Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl débarque en 2003 dans les cinémas du monde entier. Mais saviez-vous qu’en réalité, l’origine du film est bien plus vieille que cela ? Si l’on regarde de plus près, c’est en 1967 que Disney créé ce monde légendaire.
Si vous poussez les portes du parc d’attractions de Disneyland et que vous vous aventurez dans Adventureland, vous allez vite tomber sur l’attraction Pirates des Caraïbes. C’est de là que viennent les films portés par Johnny Depp. Le manège s’ouvre au public pour la première fois en 1967 dans le parc de Californie, aux Etats-Unis. En France nous avons exactement la même attraction qui a été créée lors de l’ouverture du parc en 1992.
L’origine de Pirates des Caraïbes
Après les plusieurs dizaines de minutes de file d’attente, les visiteurs prennent place dans le bateau afin de naviguer sur la mer des Caraïbes et découvrir les nombreux pirates qui y séjournent. Des combats d’épées font rage, des fantômes et squelettes hantent les lieux, la virée est loin d’être de tout repos.
Et c’est justement l’histoire contée dans l’attraction qui a inspiré Pirates des Caraïbes. Cette dernière a tellement plu aux visiteurs de Disneyland que la firme aux grandes oreilles s’est dit qu’il était intéressant de surfer sur le succès pour en faire une saga au cinéma. Ils ont donc inventé le personnage de Jack Sparrow, qui n’était pas présent dans l’attraction avant les films mais qui a été ajouté lors de la rénovation de 2017 suite au succès des longs-métrages. Ce n’est d’ailleurs pas la seule attraction à avoir une adaptation au cinéma, puisque c’est aussi le cas du Manoir Hanté et de La Tour de la Terreur pour ne citer qu’elles.
Alexis Savona
Rédacteur en chef adjoint