Pirates des Caraïbes : les plus grosses erreurs dans Jusqu’au bout du monde

Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde a peut-être rencontré un succès monstre dans tous les pays, mais il n'empêche que de nombreuses erreurs se sont glissées dans le film. Vous ne nous croyez pas ? En voici la preuve.

Avez-vous remarqué toutes ces erreurs et incohérences dans le troisième volet de Pirates des Caraïbes ?

Les faux ongles dans Pirates des Caraïbes

Ce troisième volet de Pirates des Caraïbes met en scène un tout nouveau vilain : Sao Feng joué par Chow Yun-fat. Ce dernier a les ongles longs pour montrer son statut social et sa richesse, mais lors de sa toute première apparition, on remarque que ce sont des faux ongles puisqu’ils sont légèrement décollés… Ce qui fait apparaître ses vrais juste en dessous ! On est sûr que même les vrais fans n’ont pas vu cette petite erreur !

On me voit, on ne me voit plus

Une erreur de continuité s’est glissée lors de l’échange entre Jack, Elizabeth et Barbossa avec Will, Beckett et Davy Jones. Le personnage de Johnny Depp porte une manchette en cuir à sa main droite… Qui disparaît d’un plan à l’autre ! D’autant plus que ce faux raccord est visible puisqu’il y a un gros plan montrant clairement qu’ils ont oublié de lui mettre la manchette.

La cicatrice de Will

Le cœur de Will lui est retiré à la toute fin de Pirates des Caraïbes : Jusqu’au Bout du Monde, lui donnant au passage une très belle cicatrice… Qui change de design au cours des dernières séquences. Tantôt il y a plusieurs coupures comme le montre l’image de gauche, tantôt elle est nette comme nous pouvons le voir dans celle droite.

Une incohérence dans Pirates des Caraïbes : Jusqu’au Bout du Monde

Vers les 1h30 du film, Lord Beckett propose un thé à Will. Nous voyons d’ailleurs un gros plan sur Beckett en train de mettre un morceau de sucre dans une tasse. Et c’est justement l’incohérence, puisque le film est censé se dérouler entre 1520 et 1720… Alors que les morceaux de sucre ont été créés en 1875 !

Et une deuxième pour la route !

Le saviez-vous : le tout premier ours en peluche a été créé en 1902 par la couturière Margarete Steiff, après que son neveu Richard Steiff lui a montré un croquis. Il est donc impossible de voir Maître Gibbs en train de dormir en tenant dans ses bras une peluche… Puisque ça n’existait pas à son époque ! Une information qui est intéressante à apprendre, tout comme l’histoire insolite derrière l’origine de la saga.

Une date pas si juste dans Pirates des Caraïbes 3

Il arrive que Pirates des Caraïbes fasse écho à de vraies histoires et légendes dans ses films. Comme ici lorsque Jack consulte le parchemin qui montre la découverte de « Aqua de Vida » par un certain Ponce de León en 1523. Il s’agit d’une véritable histoire puisque ce dernier est un explorateur qui a existé et qui, selon le mythe, a recherché la fontaine de jouvence. C’est d’ailleurs à cette occasion qu’il a découvert la Floride… Mais cela s’est déroulé en 1513 et non 1523 comme écrit sur la carte.

Gros changements

C’est une erreur qui fait référence à celle présente dans le premier volet de la saga. Lorsque Beckett monte à bord du Hollandais volant et parle à Davy Jones, nous pouvons voir lors d’un gros plan qu’il a une légère barbe et que la boucle de sa perruque n’est pas bien faite. Deux choses qui sont corrigées dans le plan qui suit : il se retrouve rasé et la boucle est parfaite.

Erreur en vue !

Revenons au début de Pirates des Caraïbes : Jusqu’au Bout du Monde. Ragetti est en train de regarder la scène sous le plancher lors de la première séquence. Problème, on remarque qu’il guette avec son œil de verre… Comment fait-il donc pour voir l’action ?

Une grille en carton

Toujours au début du film, plus précisément lorsque Gibbs retire la grille, on peut voir au niveau de ses mains que les barres se tordent comme si elles étaient en caoutchouc !

Le grain de beauté magique

À la toute fin du film, lorsque Elizabeth et Will s’embrassent, nous pouvons voir que le grain de beauté situé en haut à droite du sourcil de Keira Knightley disparaît d’un plan à l’autre… Oups…