Netflix augmente une nouvelle fois ses tarifs, découvrez le nouveau montant des offres
Publié le Mise à jour le Par Marion Le Coq
C’est un discours qu’on commence à avoir l’habitude d’entendre, le géant du streaming américain, Netflix, vient d’annoncer une augmentation de ses tarifs. Voici alors ce qui va changer pour les abonnés.
Quelques mois après l’annonce de l’arrêt du partage de compte pour les utilisateurs de Netflix, la plateforme de streaming annonce l’augmentation de ses tarifs pour deux de ses abonnements phare pour les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la France.
Ainsi, dans l’Hexagone, ce sont les offres Essentiel et Premium qui vont voir leurs montants augmenter, tandis que les abonnements Standard avec ou sans pub restent respectivement à 5,99 et 13,49 euros par mois. Pour les autres abonnés, il va donc falloir débourser 2 euros supplémentaires par mois pour continuer de regarder les programmes de Netflix.
Deux euros supplémentaires pour les abonnements Essentiel et Premium de Netflix
Pour résumer, les détenteurs d’un abonnement Essentiel voient les tarifs passer de 8,99 à 10,99 euros par mois et l’offre Premium coûtera désormais 19,99 euros au lieu des 17,99 euros actuels. Netflix justifie cette hausse en déclarant dans une lettre dédiée aux actionnaires : “Alors que nous apportons davantage de valeur à nos abonnés, nous leur demandons occasionnellement de payer un peu plus”.
Dans cette même lettre, ils se félicitent également du succès de la facturation du partage de compte mis en place il y a quelques mois de ça qui s’élève désormais à 5,99 euros supplémentaires par mois et qui n’a pas fait augmenter le nombre de résiliation de comptes. « Le niveau de résiliation reste bas, au-delà de nos attentes, et la conversion de ceux qui utilisent le compte d’un tiers en abonnés payants démontre une bonne rétention », conclut la lettre de Netflix.
Le géant américain n’est, par ailleurs, pas la seule plateforme de streaming à avoir augmenté ses tarifs en 2023 étant donné que Disney+ a fait une annonce similaire au cours de l’été.
Marion Le Coq
Journaliste