Narcos : 3 bonnes raisons de jouer au jeu vidéo Rise of the Cartels
Publié le Mise à jour le Par Romain Cheyron
Narcos : Rise of the Cartels, le jeu vidéo adapté de la série Netflix apparue en 2015 est disponible. Serieously vous donne 3 bonnes raisons de vous jeter dessus et d'y jouer.
Le jeu est véritablement basé sur la série Netflix
Narcos et Pablo Escobar vous manquent ? Alors on a le jeu qu’il te faut. En 2015, Netflix lançait la série centrée sur le célèbre baron de la drogue et de sa traque par les forces de l’ordre. 4 ans plus tard, l’histoire est de nouveau racontée, dans un jeu où l’action se fait tour par tour. La stratégie et la tactique se développent petit à petit tout au long du jeu, pour remporter la partie. On se retrouve plongé dans les quartiers colombiens où la guerre fait rage entre la DEA et les cartels. Plusieurs missions sont proposées, trouver des indices, sauver un otage, mais aussi tuer l’un des chefs de cartels. Pour les amoureux de Narcos, la partie est aussi rythmée par des extraits de la série.
Tu peux incarner les deux camps
Dans ce jeu, tu n’intègres pas seulement le camp des autorités et de la DEA, tu peux aussi jouer l’un des leaders d’un cartel et amener tes opérations au succès. Le but est le même, dans un camp ou dans l’autre, en tour par tour, établir des stratégies pour mener à bien tes missions et prendre le dessus sur tes adversaires. Tu dois former une équipe, soit des meilleurs agents de la DEA, soit des membres les plus dangereux du cartel. Mais attention, si l’un d’eux ne survit pas à un affrontement, il meurt définitivement, de quoi ajouter une difficulté supplémentaire au jeu. A toi alors d’établir les bonnes stratégies pour éviter ça.
Tu peux jouer sur 4 consoles différentes
Si tu ne veux pas passer à côté de Narcos : Rise of the Cartels et te plonger véritablement dans l’univers du jeu basé sur la saison 1 de la série Netflix, bonne nouvelle, il est disponible sur plusieurs plateformes : Nintendo Switch, PlayStation 4, Xbox One, mais aussi sur PC Microsoft Windows.
Romain Cheyron
Journaliste