Love Is Blind France : une version française bientôt sur Netflix ?
Publié le Mise à jour le Par Alexis Savona
Impossible de passer à côté de Love Is Blind si vous avez un abonnement Netflix. Cette émission de télé-réalité passionne les millions d’abonnés du géant au N rouge, tant les histoires d’amour qu’elle y raconte sont pleines de rebondissements. Et selon des bruits de couloirs, les capsules de dating pourraient arriver en France…
Love Is Blind n’est pas une émission de dating comme les autres. On y suit une trentaine d’inconnus hommes et femmes qui font connaissance à l’aveugle, dans l’espoir de trouver l’amour. Et c’est justement le détail qui change tout. Ces célibataires sont enfermés dans des capsules sans voir la personne d’en face, le but étant qu’ils se connectent mentalement et qu’ils ne jugent pas sur le physique.
Lorsque deux personnes ont un coup de cœur mutuel, ils peuvent enfin se voir pour se marier et partir en lune de miel pour faire plus ample connaissance, et tester la solidité de leur couple. Un concept novateur qui nous vient tout droit des Etats-Unis, et qui a déjà six saisons à son compteur sur Netflix. Le succès de Love Is Blind est tel que l’émission pourrait se décliner dans le monde entier, selon un blogueur français.
Les capsules de Love Is Blind pourraient se poser en France
C’est le blogueur Aqababe qui a lancé la rumeur. Selon ses sources, Netflix serait en train de développer Love Is Blind à l’international, comme ce fut le cas pour son autre émission The Circle. A l’instar du Royaume-Uni, plusieurs pays européens pourraient avoir leur propre franchise, dont la France.
On me souffle que Love is Blind va être adapté dans plusieurs pays Européens dont la FRANCE 🇫🇷 La marque a été déposée en 2023 à l’INPI par Netflix, un tournage bientôt?
Affaire à suivre, de quoi rendre heureux les fans du programme like me 🤩✨❤️ pic.twitter.com/I6zM5aJCBP— AQABABE (@AQABABE_) September 2, 2024
A l’heure actuelle, Netflix n’a pas confirmé vouloir décliner Love Is Blind à l’international, ces informations sont donc à prendre avec des pincettes.
Alexis Savona
Rédacteur en chef adjoint