Light as a Feather : 3 bonnes raisons de regarder la série surnaturelle avec Dylan Sprayberry
Publié le Mise à jour le Par Romain Cheyron
Light as a Feather va peut-être devenir votre nouvelle obsession série. Si vous aimez Pretty Little Liars, Teen Wolf, les teen-shows et l'horreur, cette nouveauté signée Hulu est faite pour vous. Voici trois bonnes raisons de la regarder.
C’est un Pretty Little Liars surnaturel
Light as a Feather est une histoire d’horreur teen dans la plus pure des traditions de films de ce genre des dernières années. A l’image d’Action ou Vérité, avec Tyler Posey sorti en 2018 ou encore Happy Birthdead, en 2017. Des personnages ados qui se retrouvent au centre d’un jeu macabre où le surnaturel prend le dessus. Ici, un groupe de lycéennes joue à Léger comme une plume… … raide comme la mort, sous l’impulsion de Violet, la nouvelle venue. Elle imagine la mort de ses « amies », et les voit mourir les unes après les autres de la même façon. Mais plus que ça, une malédiction plane sur les adolescents, qui doivent enquêter sur ces étranges et terrifiants événements.
Un casting avec des têtes connues des fans de séries (Teen Wolf, 13 Reasons Why)
Si Liana Liberato (qui incarne McKenna) est l’héroïne de Light as a Feather, d’autres acteurs de la série sont connus des fans. Dans le rôle d’Henry, le frère d’Olivia, on retrouve Dylan Sprayberry, qui a fait les beaux jours de Teen Wolf à partir de la saison 4. Il incarne un personnage très différent de Liam : un lycéen populaire de sa ville et très sûr de lui. À ses côtés, on retrouve Ajiona Alexus, dans le rôle de Candace, que les fans de 13 Reasons Why ont vu dans la peau de Sheri Holland.
Des épisodes courts et rythmés
Hulu, la plateforme qui diffuse Light as a Feather aux Etats-Unis, a pris le paris de changer les codes des séries de ce genre. Les 10 épisodes de la première saison durent 20 minutes chacun, contrairement aux 40 habituelles, comme on peut le voir avec American Horror Story, Teen Wolf ou d’autres séries surnaturelles. Un format qui permet de garder une histoire rythmée, sans temps morts, de s’impliquer véritablement dans l’enquête des personnages, et découvrir avec eux les mystères qui se cachent derrière le jeu macabre. La série va droit au but.
Romain Cheyron
Journaliste