Les 5 plus gros faux raccords dans les films culte des années 90
Publié le Par Lea Goeb
Les films des années 90 ont marqué toute une génération de spectateurs, si bien qu’ils sont pour certains devenus des références et qu’ils sont encore culte de nos jours. Après de nombreux visionnages, la rédac de Serieously a pu pointer certaines incohérences et de subtils faux raccords. Voici notre sélection !
Sommaire
La scène culte dans Le Cercle des poètes disparus

La classe originale et non conformiste du professeur Keating a connu son lot de faux raccords ! Notamment dans cette scène culte qui clôt Le Cercle des poètes disparus, où les étudiants commencent à se tenir debout sur leur bureau, en signe de protestation face au renvoi de leur professeur. Au début de la scène, on dénombre au moins 13 étudiants qui prennent la décision de se lever et de se tenir sur leurs bureaux, alors que sur le plan final, on n’en voit que 10 !
La scène du dîner en premier classe dans le film des années 90 Titanic

Titanic est l’un des films les plus culte des années 90, mais il n’a pourtant pas échappé à certaines incohérences ! La scène du dîner est première classe en est la preuve. Alors que le couple marche pour rejoindre l’endroit du dîner, il est rejoint par Molly. La dame leur propose de marcher avec elle et s’accroche au bras de Jack. Ils forment alors un trio et continuent d’avancer ensemble. Seulement, le plan qui suit montre que les deux personnages n’ont pas encore été rejoints par Molly, qui marche seule.
Une blessure qui change d’emplacement dans Forrest Gump

Intéressons nous maintenant à l’un des films les plus marquant des années 90, Forrest Gump. Dans cette scène, alors qu’il n’est encore qu’un petit garçon, Forrest va se faire taper en pleine face par un caillou lancé par un autre enfant. On voit bien que le projectile le frappe en plein dans l’oeil droit et sur son arcade sourcilière droite. Cependant, lorsqu’il se relève, c’est le front de Forrest qui est blessé et ensanglanté, et non pas son oeil.
Les ciseaux d’Edward aux mains d’argent

Les films de Tim Burton n’ont pas échappé à quelques faux raccords. C’est le cas d’Edward aux mains d’argent. A la fin du film, lorsque le maître d’Edward meurt, ce dernier passe ses ciseaux sur son visage. Deux lames griffent alors son visage. Mais sur le plan qui suit cette petite scène, ce sont trois lames d’Edward qui sont ensanglantées, et non deux.
Un thermostat qui change de couleur dans Fight Club

Finissons cette sélection avec un classique de la fin des années 90, Fight Club ! Dans cette scène, le personnage principal est en train de discuter avec son patron. On voit bien que le thermostat, qui se situe en haut à droite de l’image, est noir. Sur le plan juste après qui montre son patron, le thermostat est blanc. Et ce changement de couleurs se poursuivra tout au long de la scène, lorsque le plan change pour montrer les deux personnages.
Lea Goeb
Passionné d'anime, de jeux vidéo et de films en tout genre, je suis une grande fan de Naruto, Matrix et Zelda. J’adore explorer des univers fascinants, qu'ils soient remplis de science-fiction, d'aventures ou de frissons.