La Chronique des Bridgerton : le secret derrière les scènes de sexe intenses de la série Netflix

On peut le dire, les scènes de sexe dans La Chronique des Bridgerton marquent les esprits, et il y a une raison très simple à cela. Une coordinatrice est présente sur le tournage et y apporte une touche très particulière.

Avouez-le, si Simon et Daphné vous ont autant passionné pendant la première saison de La Chronique des Bridgerton c’est parce que leur relation est intense. Dans leurs échanges, leurs regards, mais surtout dans leurs scènes de sexe. Et si ces séquences ont marqué les esprits c’est grâce à la préparation minutieuse d’une coordinatrice d’intimité. Sur le plateau de Bridgerton c’est Lizzy Talbot qui occupe ce rôle, et elle s’est confiée à The Sunday Times.

« La toute première scène, le premier jour, nous faisions une scène de plaisir sexuel féminin dans un club de gentlemen qui n’autorisait pas les femmes avant 1980. Et j’ai dit ‘Oh, je vois ce que vous faites, Shondaland!’ Il était très clair que dès le départ cela allait être vu du point de vue féminin« , a-t-elle commencé à dire, expliquant la particularité de ces scènes par rapport à d’autres séries.

« C’est juste une scène comme une autre » dans La Chronique des Bridgerton

Mais Lizzy Talbot va plus loin, et se confie sur le soin tout particulier et la préparation donnés à ces séquences d’intimité : « Normalement, vous devez répéter le jour même où nous tournons et cela n’a pas été le cas pour Bridgerton. Parce que nous avions le temps, nous sommes arrivés préparés et toute la chorégraphie a été présentée. Lorsque vous traitez les scènes d’intimité de la même manière que vous traitez celles de cascades ou celles de danse, cela enlève la gêne et la peur parce que c’est juste une scène comme une autre. »

La chorégraphie des scènes de sexe de La Chronique des Bridgerton est répétée au geste près, au timing près, et il est important pour les acteurs de se sentir en sécurité et d’avoir une ou un partenaire qui suit parfaitement les consignes mises en place. Et évidemment, l’alchimie entre Regé‑Jean Page et Phoebe Dynevor a fait le reste.