La Chronique des Bridgerton : aviez-vous remarqué ces erreurs temporelles dans la série ?
Publié le Par Marion Le Coq
C’est la difficulté quand on tourne une série d’époque : éliminer toutes les choses qui ne correspondent pas au temps représenté à l’écran. Et si La Chronique des Bridgerton a mis les petits plats dans les grands pour tout respecter, quelques détails ont échappé à la production.
Arrivée le 25 décembre dernier sur Netflix, la première production de Shonda Rhimes pour la plateforme de streaming, La Chronique des Bridgerton, a tout de suite été chaudement accueillie par les abonnés et pas seulement pour le charme du Duc d’Hastings AKA Regé-Jean Page.
Ce savant mélange entre la série d’époque et le côté plus sulfureux d’un show façon Gossip Girl a su trouver son public rapidement et une saison 2 va d’ailleurs voir le jour, centrée cette fois sur Anthony Bridgerton, l’aîné de la famille et sa recherche active d’une épouse. Mais si La Chronique des Bridgerton a su nous faire voyager au début du XIXe siècle sans peine, certains fans ont tout de même repéré quelques petits anachronismes.
Primark dans La Chronique des Bridgerton
La première erreur temporelle est la présence de lignes de signalisation jaunes sur les routes, alors que celles-ci ne sont apparues au Royaume-Uni que dans les années 60, soit plus d’un siècle après la chronologie de la série.
Enfin, des fans britanniques de la série ont également partagé leur hilarité sur les réseaux sociaux en reconnaissant un bâtiment qui est en réalité un Primark. Un poster promotionnel du célèbre magasin peut d’ailleurs être aperçu dans le reflet d’une vitre, derrière Simon Basset. On vous l’accorde, il faut vraiment avoir l’œil pour l’apercevoir, mais les habitants de Bash – qui a notamment servi de décor à la série – sont catégoriques.
Si jamais vous vous décidez à revoir la saison 1 de La Chronique des Bridgerton en attendant la suite sur Netflix, ouvrez l’œil et peut-être que vous repérerez d’autres petites erreurs.
Marion Le Coq
Journaliste