La Casa de Papel : combien de temps a duré le braquage de la Banque d’Espagne des saisons 3 à 5 ?
Publié le Par Romain Cheyron
Combien de temps a duré le braquage de la Banque d’Espagne par le Professeur et son équipe dans La Casa de Papel ? C’est l’une des grandes questions que se posent les fans de la série… Et on a peut-être eu la réponse grâce à Alicia, Rafael et Tatiana.
Après un premier braquage réussi dans les deux premières saisons de La Casa de Papel, le Professeur, Tokyo, Denver ou encore Nairobi ont préparé un autre casse : la Banque d’Espagne. Plus gros, plus ambitieux, plus dangereux et c’était surtout l’occasion de sauver Rio, qui s’était fait attraper par les autorités.
Le braquage a débuté dans la saison 3 de la série espagnole et s’est terminé avec la cinquième et ultime saison qui a débarqué sur Netflix le 3 décembre dernier. S’il s’est écoulé deux ans et demi entre, la temporalité dans La Casa de Papel est bien différente et le casse n’a pas duré aussi longtemps. Mais combien de temps s’est déroulé entre l’entrée des braqueurs dans la banque et leur sortie miraculeuse ?
Un dernier casse pour La Casa de Papel
L’épisode 10 de la saison 5 donne un élément de réponse, avec Alicia qui cherche des informations sur Tatiana et Rafael qui viennent de dérober l’or sous les yeux du Professeur, Marseille et Benjamin. Le cerveau de l’opération, incarné par Alvaro Morte, est persuadé qu’ils n’ont pas pu aller bien loin avec le butin et qu’ils l’ont forcément caché dans les alentours… Dans une propriété privée récemment achetée.
Le fils de Berlin et sa petite amie ont lancé leur plan au moment où celui du Professeur s’est mis en place, quand les braqueurs sont entrés dans la banque. Alicia fait alors une recherche d’achat de propriété sur les cinq derniers jours… Soit la durée totale du braquage. S’il a fallu deux ans et demi aux épisodes pour débarquer sur Netflix et nous raconter cet ultime casse, il aura fallu 5 jours à Rio, Denver, Lisbonne, le Professeur et les autres pour atteindre leurs objectifs, avec pertes et fracas.
Romain Cheyron
Journaliste