Jaime Lorente, Maria Pedraza & Itzan Escamilla : "Pour parler aux jeunes, il devrait y avoir plus de séries comme Elite"

Jaime Lorente, Maria Pedraza & Itzan Escamilla : « Pour parler aux jeunes, il devrait y avoir plus de séries comme Élite »

Pour votre plus grand plaisir, Élite, la nouvelle production espagnole de Netflix, débarque le 5 octobre sur la plateforme. Prêts à découvrir votre nouvelle obsession ? À l'occasion de la sortie de le teen drama le plus trash de la rentrée, la rédaction de Serieously a rencontré LE triangle amoureux de la série.

Si Netflix ne vous a pas déjà fait changer d’avis au sujet des productions de séries européennes, Élite devrait finir de vous convaincre. La nouvelle teen-série débarque le 5 octobre sur la plateforme et la jeunesse dorée espagnole risque bien de vous surprendre. Sur fond de sexes, drogues et rock’n’roll sons latinos, faites votre entrée à Las Encinas.

La série traite de sujets importants et très actuels pour les adolescents. Malgré tout, est-ce qu’il y a des choses que vous auriez écrites différemment ?

Maria Pedraza (Marina) : En vérité non. On a beaucoup de respect pour la manière dont la série est écrite et sur l’image qu’elle donne du quotidien des adolescents d’aujourd’hui. Je trouve qu’il n’y a rien à modifier. D’ailleurs, la plupart des femmes ont un rôle important dans la série.

Le personnage de Marina porte un sujet très fort sur ses épaules. Comment vous êtes-vous préparée pour le rôle ?

Maria Pedraza (Marina) : J’ai beaucoup travaillé et discuté avec Ramon Salazar (producteur et scénariste de la série) et c’était une très bonne influence. J’ai aussi cherché sur internet, lu des mémoires de personnes atteintes de la même maladie incluant des témoignages de personnes jeunes mais aussi des plus âgées. J’ai envie d’ajouter que c’était aussi un vrai cadeau de pouvoir intégrer de la danse au rôle de Marina.

Beaucoup de sujets sont abordés dans la série. Est-ce que vous pensez que c’est une belle présentation de la jeunesse actuelle partout dans le monde ?

Jaime Lorente (Nano) : Bien sûr ! Je pense déjà qu’il faudrait plus de séries sur ces sujets et qui en parleraient librement.

Pour vous, quel est le sujet le plus important abordé dans la série ?

Jaime Lorente (Nano) : Le thème général de la série pour moi, c’est vraiment le fait de grandir et d’évoluer. J’ai beaucoup aimé qu’il soit mis en avant. C’est une partie difficile de la vie de quelqu’un, c’est l’époque où on se découvre, on apprend beaucoup sur soi-même. Le processus d’évolution relie aussi tous les sujets… L’amour, la drogue et tout le reste.

Maria Pedraza (Marina) : Le sujet le plus important est aussi la communication… qui n’existe pas. Entre les parents et leurs enfants surtout. Et évidemment, l’amour car tous les conflits ou les relations de la série y sont liés, que ce soit par la présence d’amour ou l’absence d’amour.

Vous avez appris qui est le tueur une semaine avant de tourner le dernier épisode. Avant de le savoir, qui imaginiez-vous responsable du meurtre ?

Maria Pedraza (Marina) : Je ne voulais vraiment pas savoir et j’ai préféré « profiter de ma situation ».

Qu’est-ce que vous souhaitez à votre personnage pour une potentielle saison 2 ?

Itzan Escamilla (Samuel) : J’avoue que j’aimerais qu’il se révèle plus, qu’on voit son caractère évoluer. Il le mérite.

Maria Pedraza (Marina) : (rires) Vivre…

Maintenant que vous connaissez tous les personnages. Lequel est votre préféré ?

Maria Pedraza (Marina) : Samuel. Sans hésitation. Samuel est une bonne personne pour Marina, c’est une sorte d’âme soeur pour elle et ils ont des choses en commun. Avec lui, tout est simple et où tout devrait l’être…

Jaime Lorente (Nano) : Samuel aussi. Même si c’est très subjectif et que ça dépend surtout des relations.

Itzan Escamilla (Samuel) : Moi j’adore Ander. Son histoire est très intéressante.

Allison Josepha

Allison Josepha

Co-fondatrice - Responsable pôle communication

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