Harry Potter et la Coupe de feu : 10 secrets de tournage qui vous feront voir le film autrement
Publié le Par Alexis Savona
Harry Potter et la Coupe de feu cache beaucoup de secrets de tournage, et on a décidé de vous en dévoiler 10. Oui, on est comme ça chez Serieously !
Harry Potter et la Coupe de feu aurait pu être coupé en deux
Non vous ne rêvez pas ! Au même titre que Les Reliques de la Mort qui sont en deux parties, le quatrième volet aurait pu avoir deux films. Le livre est nettement plus riche et long que les trois précédents opus, il était donc assez difficile d’écrire un scénario qui tient dans un seul long-métrage. Finalement la production est parvenue à faire (beaucoup) de sacrifices et a enlevé plusieurs intrigues pour n’en faire qu’un.
Le réalisateur s’est blessé lors du tournage
Aïe aïe aïe… Coup dur pour Mike Newell. Ce dernier est le réalisateur du quatrième volet, et il était un peu trop investi dans son rôle. Lors d’une scène où George Weasley doit se battre, Mike Newell a voulu montrer à Oliver Phelps comment faire… mais il s’est cassé une côte !
Trop de pression pour Emma Watson
Le bal d’hiver est LA scène marquante de Harry Potter et la Coupe de feu. Et ça, Emma Watson l’a très bien compris. Par conséquent l’actrice était ultra stressée à l’idée de la tourner, surtout lorsqu’elle doit descendre les marches. Et elle était tellement nerveuse qu’elle est tombée des escaliers au moment du tournage.
Danse avec les stars de Harry Potter et la Coupe de feu
En parlant du bal d’hiver, qui dit bal dit danse. Et tout le casting a dû prendre des cours de danse afin de rendre la scène la plus crédible possible. Tout le monde sauf… Daniel Radcliffe, qui au moment des cours devait tourner d’autres scènes du film. C’est pour cette raison qu’on le voit qu’en gros plan et qu’on ne voit jamais ses pieds pendant la séquence.
Daniel Radcliffe a fait une grosse frayeur sur le tournage
L’une des tâches de La Coupe de Feu demandent aux participants d’aller sauver un être qui leur est cher au fond du lac de Poudlard. Pendant les préparations de cette scène intense, Daniel Radcliffe a fait signe qu’il était en train de se noyer et a créé la panique sur le tournage. Alors qu’en réalité l’acteur n’était pas du tout en danger et n’a pas fait exprès de faire le signe d’alerte… Et fun fact dans le fun fact : il a attrapé au moins deux infections aux oreilles à force d’être resté sous l’eau. C’est cadeau.
Dumbledore fume !
Navré de briser toute la magie du personnage, mais Dumbledore est bel et bien accro à la cigarette. Enfin, plutôt son interprète, Michael Gambon. L’acteur a d’ailleurs trouvé un stratagème pour pouvoir fumer en toute discrétion : il cachait ses cigarettes dans sa longue robe de costume !
Le physique de Voldemort
L’une des choses les plus importantes de ce volet est l’arrivée de Voldemort…Avec un physique aussi particulier, ça a bien évidemment pris du temps de transformer Ralph Fiennes en Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. Il devait passer plus de deux heures au maquillage chaque jour de tournage pour devenir Lord Voldemort.
Un vrai dragon dans Harry Potter et la Coupe de feu
Qui a dit que les dragons n’existaient pas dans la vraie vie ? Dans Harry Potter et la Coupe de feu, tout est possible ! Pour sa première tâche, Harry doit vaincre des créatures cracheuses de feu. Et pour l’aider sur le tournage, les équipes ont créé un vrai dragon robotique qui envoyait de vraies flammes ! D’ailleurs, si vous restez jusqu’au générique de fin vous pourrez lire une annotation qui dit « Aucun dragon n’a été blessé lors de la réalisation de ce film. »
Superman aurait pu être dans le film
Et oui, on aurait pu avoir le droit à un crossover entre Superman et Harry Potter. Enfin, pas tout à fait. Henry Cavill, connu aujourd’hui pour avoir joué le super-héros dans Man of Steel, a auditionné pour le rôle de Cedric Diggory. Mais il s’est fait devancer par Robert Pattinson.
Tolérance zéro pour l’acné
Les acteurs étaient tous des ados pendant le tournage de Harry Potter et la Coupe de feu. Qui dit adolescence, dit acné, et parfois le maquillage ne pouvait pas cacher les boutons sur le visage. Pour les effacer, la production a utilisé une technique numérique en post-production qui permettait d’enlever l’acné, notamment lors des gros plans.
Alexis Savona
Rédacteur en chef adjoint