Game of Thrones : cette scène controversée que Nikolaj Coster-Waldau (Jaime) trouve dégradante

Les scènes de sexe sont nombreuses dans Game of Thrones, et si pour certains fans il y en a trop, pour Nikolaj Coster-Waldau il y en a une en particulier qu'il déteste.

C’est une scène qui fait beaucoup parler récemment. Alors que George R.R. Martin s’est exprimé sur le viol de Daenerys par Kahl Drogo dans le livre Fire Cannot Kill a Dragon de James Hibberd, c’est au tour de Nikolaj Coster-Waldau de se confier sur ce moment controversé. C’est dans la saison 1 que s’est déroulé ce terrible événement, et si la scène devait être très différente à l’origine – ce n’était pas un viol – Daenerys a vécu un vrai traumatisme et Emilia Clarke une expérience difficile à tourner pour ses premiers pas dans Game of Thrones

Les mauvaises décisions de Game of Thrones

Dans une interview pour Times, l’interprète de Jaime est revenu sur cette scène qu’il trouve « dégradante » . « Pour Emilia, de jouer cela dans la première saison était vraiment difficile et dégradant, car ce que ce personnage traverse est horrible. Elle a été vendue à un mec qui la viole, mais sa façon de surmonter cela est une trajectoire incroyable, non ? » dit-il. Et d’ajouter que le traitement des femmes dans Game of Thrones a changé au fil des saisons… Tout en précisant que « c’est aussi le cas dans les livres. »

L’acteur donne ensuite l’exemple de Cersei, dont le parcours peut être vue comme semblable à celle Daenerys : « Cersei, elle aussi, n’a jamais été considérée comme l’égale de son frère simplement à cause de son sexe. Mais ensuite, elle arrive au sommet. Et on pourrait dire que la façon dont ces deux femmes sont arrivées au pouvoir c’est parce qu’elles ont été élevées de cette manière horrible. » Mais les femmes ont-elles besoin de vivre des traumatismes pour s’élever ? Non. Et c’est aussi l’un des sujets à controverse pour l’intrigue de Sansa, elle aussi violée dans Game of Thrones. George R.R. Martin a d’ailleurs expliqué que le viol de Daenerys a rendu son histoire « pire, pas meilleure. «