Game of Thrones : les fans ont une incroyable théorie sur la Bataille de Winterfell
Publié le Par Marion Le Coq
Beaucoup ont été déçus par la Bataille de Winterfell dans la saison 8 de Game of Thrones, mais cette théorie de fan pourrait bien tout expliquer.
Le moins que l’on puisse dire sur la saison 8 de Game of Thrones, c’est qu’elle a très largement déçu les fans. Outre la fin qui est loin d’avoir comblé tout le monde, il y a la Bataille de Winterfell qu’énormément de gens ont critiqué, allant de la rapidité du dénouement au manque de visibilité pendant les combats et en passant par le manque de logique de la stratégie.
Et alors que la série est terminée depuis des mois maintenant, certains fans ne cessent de décortiquer les derniers épisodes et l’un d’entre eux a notamment une théorie sur la stratégie employée face à l’armée des morts. C’est sur Reddit que l’utilisateur Thibinus défend le fait d’avoir les personnages en front devant le château plutôt que réfugiés en sécurité au sein de la forteresse.
Une stratégie logique ?
Voilà ce que pense ce fan sur la raison pour laquelle ils n’ont pas utilisé le château comme défense : “il est vrai que de se cacher dans le château et le défendre aurait été une façon très intelligente de se battre contre une armée habituelle qui possède un avantage numérique. Mais la plupart des gens oublient que le Night King avait un dragon à ce moment, et comme on l’a vu dans l’épisode 5 de la saison 8, le feu de dragon peut faire littéralement exploser des murs de pierre. En d’autres termes, s’ils avaient groupé toutes leurs forces à l’intérieur de Winterfell, le Night King aurait détruit les murs très facilement et ils auraient tous été piégés et submergés en quelques minutes”.
Selon ce fan, ils auraient donc préféré créer plusieurs lignes de front afin de ralentir l’avancée des Marcheurs Blancs pendant que Daenerys et Jon tentaient de localiser le Night King sur leur dragon respectif.
Vous approuvez ? Une chose est sûre, Game of Thrones, et sa saison 8, continueront probablement d’alimenter les débats pendant des années encore.
Marion Le Coq
Journaliste