Friends : Jennifer Aniston révèle que deux stars de la série ont failli être virées par la production
Publié le Par Marion Le Coq
Vous imaginez Friends sans Monica ou Joey ? Ou encore sans Chandler et Rachel ? C’est pourtant bien ce qui a failli arriver dans Friends selon les dires de Jennifer Aniston.
Aujourd’hui encore, Friends est l’une des séries les plus populaires et ce même plus de quinze ans après sa fin. La preuve, Jennifer Aniston, David Schwimmer, Matthew Perry, Matt LeBlanc, Courteney Cox et Lisa Kudrow se sont retrouvés pour une réunion spéciale diffusée en mai dernier et les fans étaient bien évidemment au rendez-vous.
Et si on n’imagine pas Friends sans aucun de ses personnages principaux, c’est pourtant bel et bien ce qui a failli se produire. Eh oui, la production a menacé de se séparer de deux stars du show, au moment de la renégociation salariale.
Friends avec un groupe de 4 ?
C’est lors d’une récente interview avec le média américain The Hollywood Reporter que Jennifer Aniston est revenue sur l’incident : “On s’amusait tellement ensemble. Je me rappelle que c’était l’un de [nos points forts, ndlr] quand nous étions jeunes et bêtes et que nous renégocions, l’une des menaces des studios était, ‘Eh bien, nous n’avons pas besoin de vous six. On peut le faire avec seulement quatre d’entre vous’. On s’était dit, ‘Hein ? Vous pouvez ? Vous pouvez vous débarrasser de Rachel ou Joey ou autre ?’. Puis on a compris, ‘Non ils ne peuvent pas, réveillez-vous’.
Pour rappel, le cast de Friends s’est très vite unifié face à la production afin de négocier leurs salaires ensemble plutôt que séparément et ce à partir de la saison 3 de la série. De cette façon, ils s’assuraient d’être tous sur un pied d’égalité. C’est à ce moment-là que le studio a tenté de fragiliser leur entente en menaçant de se séparer de deux membres du groupe.
Heureusement pour tout le monde, les acteurs n’ont pas cédé face à la pression et la production s’est rendue compte que Friends ne fonctionnerait pas sans deux membres du groupe. Tout est bien qui finit bien donc.
Marion Le Coq
Journaliste