Friends : ces 3 intrigues que les créateurs de la série culte regrettent aujourd’hui
Publié le Par Romain Cheyron
Friends essuie de nombreuses critiques ces dernières années, à propos de blagues jugées sexistes, homophobes ou encore grossophobes, et les créateurs de la série en sont conscients. Voici 3 intrigues qu'ils regrettent d'avoir fait.
Voici les trois intrigues que les créateurs de Friends regrettent :
Le stalker de Phoebe dans Friends
Dans la saison 3, Phoebe croise la route d’un étrange homme nommé Malcolm (incarné par David Arquette), qui la suit partout où elle va. Problème : il est persuadé qu’il s’agit d’Ursula, la sœur jumelle de l’héroïne. Pour autant, il continue à stalker Phoebe, qui accepte cette situation. Une étrange relation que les créateurs de Friends David Crane et Marta Kauffman, regrettent d’avoir écrite. A l’occasion du festival de télévision de Tribeca en 2019, la productrice et scénariste expliquait : « L’épisode du harceleur. Nous avons fait beaucoup de réécriture là-dessus pour que ça marche. »
La varicelle
Dans la saison 2, Phoebe attend le retour d’un de ses amants, joué par Charlie Sheen. Un sous-marinier qui a une permission d’un week-end , qu’ils doivent passer ensemble dans une ambiance des plus romantiques. Malheureusement, Ben refile la varicelle au personnage de Lisa Kudrow… Qui la transmet également à Ryan. Une intrigue que Martha Kauffman regrette également d’avoir faite, sans en préciser la raison exacte. Mais on peut le comprendre, ce n’est pas l’épisode préféré des fans de Friends, et il se retrouve tout juste à l’extérieur des 10 pires.
Le père de Chandler
Ces dernières années, Friends a été pointée du doigt pour certaines de ses blagues jugées transphobes, notamment par rapport au personnage du père de Chandler. Et c’est quelque chose dont est consciente Martha Kauffman, qui aurait fait les choses différemment : « Je pense que nous n’avions pas vraiment de connaissance sur les personnes transgenres à l’époque, donc je ne sais pas si nous avons utilisé les termes appropriés. Je ne sais pas si j’aurais connu ces termes à l’époque et c’est un problème aujourd’hui. «
Romain Cheyron
Journaliste