Dirty Dancing : « Nous étions forcés d’être ensemble », Jennifer Grey explique pourquoi elle ne s’entendait pas avec Patrick Swayze sur le tournage du film

Il est parfois compliqué de jouer les amoureux lorsqu’on est acteur, surtout pour Patrick Swayze et Jennifer Grey qui devaient prétendre avoir des sentiments l’un pour l’autre dans Dirty Dancing. Et cela a été un véritable calvaire pour eux puisqu’ils ne se supportaient pas sur le tournage.

Patrick Swayze et Jennifer Grey forment l’un des couples les plus mythiques du grand écran. Il est en effet impossible de ne pas penser à Bebe et Johnny Castle dans Dirty Dancing lorsqu’on évoque les plus belles romances du septième art. Pourtant, ce n’était pas du tout gagné pour le réalisateur Emile Ardolino, car Patrick Swayze et Jennifer Grey ne pouvaient pas se voir en peinture.

Dans une interview au média PEOPLE pour faire la promotion de ses mémoires Out of the Corner, l’actrice américaine est revenue sur ses tensions avec son ancien partenaire de jeu. Si Patrick Swayze disait qu’il ne supportait pas l’immaturité de sa collègue, Jennifer Grey a de son côté expliqué avoir mal vécu, à l’époque, le fait d’être forcée de devoir l’apprécier.

De l’amour à la haine… il n’y a qu’un porté, surtout dans Dirty Dancing

« Nous n’étions pas faits pour s’entendre, de la même manière que Bébé et Johnny n’étaient pas censés être ensemble » a tout d’abord lancé l’actrice de Dirty Dancing dans son interview pour PEOPLE. « Nous n’étions pas une union naturelle. Et le fait que nous devions en être une a créé une tension (…) car nous avons été forcés d’être ensemble » a-t-elle ajouté.

Par conséquent, devoir être proches alors qu’ils ne l’étaient pas a créé une grande « friction » entre eux. Mais aujourd’hui, Jennifer Grey regrette leur relation conflictuelle, et aurait aimé pouvoir s’excuser auprès de Patrick Swayze, décédé le 14 septembre 2009 d’un cancer.

« Si je pouvais lui dire quelque chose maintenant, je lui dirais : ‘Je suis tellement désolée de ne pas avoir pu simplement apprécier et savourer la personne que tu étais, au lieu d’exiger que tu sois une personne que je voulais que tu sois' » conclut l’actrice.