Desperate Housewives : les actrices n’auraient pas dû avoir le rôle selon Teri Hatcher

On ne peut pas imaginer Desperate Housewives sans Marcia Cross, Felicity Huffman ou encore Teri Hatcher, et pourtant… Les actrices auraient pu ne jamais avoir leur rôle culte ! L’interprète de Susan en dévoile la raison.

Susan, Gaby, Lynette et Bree resteront à jamais dans le coeur des fans de Desperate Housewives. Et au delà des personnages et de leur personnalité, c’est leurs interprètes qui ont aussi marqué les esprits et fait de ces femmes des héroïnes emblématiques.

Difficile, donc, d’imaginer un tout autre casting pour les incarner. Pourtant, selon Teri Hatcher, ABC aurait pu décider de ne pas du tout les recruter, si une petite information, qui aurait pu tout changer, avait été révélée.

Trop vieilles pour Desperate Housewives ?

Dans une interview avec nos confrères d’Allociné, elle confie : « Lorsque nous tournions l’épisode pilote et que nous apprenions à nous connaître, tout le monde a révélé son âge et à part Eva Longoria, qui avait 10 ans de moins que tout le monde, nous avions tous la quarantaine. Et je me souviens avoir dit aux filles : « Si la chaîne ABC, qui était notre boss, savait qu’on avait toutes plus de 40 ans, ils ne nous auraient jamais fait passer le casting pour la série. »

Au delà de l’âge, c’est le talent des actrices qui a surtout convaincu la chaîne, et a permis à Desperate Housewives d’atteindre la notoriété qu’elle a connue à l’époque de sa diffusion, et encore aujourd’hui. Pour Teri Hatcher, elle a été une vraie révolution pour la télévision : « Et ça a finalement été une des premières séries qui a vraiment mis des femmes au premier plan. »

Plus de 11 ans après la fin de la série, Susan, Gaby, Lynette et Bree pourraient-elles revenir sur le devant de la scène et prouver qu’elles sont toujours aussi pertinentes dans le paysage télévisuel actuel ? Selon Eva Longoria, ce n’est pas prévu…

Elle a récemment expliqué : « J’ai parlé plusieurs fois à Marc Cherry [le créateur de la série, ndlr]. Il a l’impression qu’il n’y a plus de raison de le faire. Il se dit : ‘Qu’est-ce que j’ai à dire avec ces personnages que nous n’avons pas encore pleinement exploité ?’ »