Buffy contre les vampires : top 10 des meilleures punchlines de Buffy Summers
Publié le Mise à jour le Par Eliott Azoulai
Que serait la série culte Buffy contre les vampires sans le sarcasme légendaire de son héroïne ? Rien que pour vous, la rédac de Serieously a compilé le meilleur des répliques de Buffy Summers.
L’art de la punchline en 10 leçons par Buffy Summers, ça commence tout de suite !
1. « Si l’Apocalypse arrive… bipez-moi ! »
On commence par un classique, une phrase que les inconditionnels de Buffy connaissent par cœur et utilisent peut-être même dans leur vie de tous les jours (au sens figuré, bien sûr) tant ils l’ont entendue.
2. « Je suis la chose dont les monstres font des cauchemars. »
YAS QUEEN.
3. « Elle repasse son jean. Elle est diabolique ! »
Vous vous souvenez de Kathy, l’agaçante colocataire de Buffy à l’université au début de la saison 4, qui repasse son jean et écoute Cher en boucle ?
4. « Vis le moment présent, car demain tu seras peut-être morte. »
Buffy est pleine de sagesse et de bons conseils comme lorsqu’elle dit à Willow, dès le tout premier épisode de la série, de profiter de la vie car on ne sait pas de quoi est fait demain.
5. « Référence de pop culture, désolée. »
Déso pas déso Giles.
6. « Je suis Buffy, la tueuse de vampires. Et toi ? »
La sassiness légendaire de Buffy se retrouve aussi bien dans ses répliques qui tuent que dans ses manières d’être et de faire. Comme ici, où elle n’y va pas par quatre chemins pour se présenter. ON ADORE.
7. « Alors on peut utiliser la manière forte ou… Eh bien en fait, je ne vois que la manière forte ! »
Franche en toutes circonstances.
8. « Je fais bien la cuisine… en théorie. J’ai beaucoup mangé. »
On est tous Buffy, non ?
9. « Je suis peut-être morte, mais il me reste la beauté. »
Cultissime… surtout pour une personne qui a l’habitude de mourir, puis de revenir à la vie. On vous rappelle qu’elle est tout de même morte deux fois dans la série !
10. « La chose la plus difficile dans ce monde, c’est d’y vivre. Sois brave. Survis. »
Le meilleur pour la fin.
Eliott Azoulai
Journaliste