Bridgerton : l’interprète de Marina demande plus de diversité dans les séries
Publié le Par Amandine Rouhaud
Si La chronique des Bridgerton a su faire preuve d'une jolie dose de diversité dans son casting, ce n'est pas le cas de toutes les séries du moment. Une situation que déplore Ruby Barker alias Marina Thompson dans la série de Shonda Rhimes.
Ce que les fans ont notamment acclamé dans La chronique des Bridgerton ? Son casting inclusif et représentatif d’une certaine diversité, parfois trop au goût de certains. Portée par Regé-Jean Page, Phoebe Dynevor, Ruby Barker ou encore Golda Resheuvel, La chronique des Bridgerton jouit en effet d’un casting éclectique.
Et la série de Shonda Rhimes devrait, selon l’une de ses actrices, être plus souvent prise en exemple. C’est en interview que Ruby Barker, qui campe Marina Thompson dans Bridgerton, s’est confiée au sujet du manque de diversité dans les séries en général. Selon elle, le show de Netflix devrait servir de modèle pour les temps à venir.
Bridgerton, un exemple parfait de diversité ?
C’est lors d’une interview avec le média britannique Metro.co.uk, que l’actrice a exprimé son étonnant face au manque de diversité dans les séries. Selon elle, la diversité dans les séries est une réussite et on a toutes les preuves sous nos yeux… « Je pense que les preuves parlent d’elles-mêmes. Un casting sans distinction de couleur, qu’on aime ou non ce terme, a fait ses preuves. Il n’y a aucune raison pour que n’importe quelle production ne considère par un casting sans distinction de couleur dès maintenant et pour le futur, car c’est un succès ! », a confié Ruby Barker avant d’ajouter : « Bridgerton en est la preuve ».
Après avoir vu une meilleure représentation de la communauté LGBTQ+ dans les séries, le chemin est tout tracé pour une meilleure diversité ethnique à l’écran.
La chronique des Bridgerton poursuit dans ce sens, puisque la saison 2 de la série a accueilli dans son casting Simone Ashley (Sex Education), une actrice britannique d’origine indienne. N’en déplaise aux mécontents.
Amandine Rouhaud
Journaliste