Better Call Saul : trois points à retenir de la saison 3
Publié le Mise à jour le Par Aurélia Baranes
La saison 3 de Better Call Saul vient de se terminer en beauté ! La série qui se rapproche de plus en plus de Breaking Bad et (évidemment) de Walter White s'est offert un sans faute pour cette incroyable saison... focus sur les trois points à retenir. Inutile de préciser que cet article est truffé de spoilers, si ?
1- Hello, Gus Fring
On l’attendait, le voici arrivé ! L’un des méchants les plus iconiques du monde du petit écran a enfin débarqué dans l’univers de Saul Goodman. Et le patron de Los Pollos Hermanos dévoile (pour l’instant) une facette un peu plus douce que celle du gros psychopathe qui a fait face à Walter White. L’occasion pour Vince Gilligan d’approfondir la guerre entre Gus et Hector Salamanca et de comprendre pourquoi ce dernier est handicapé dans Breaking Bad.
2- Saul Goodman is coming
Il aura fallu attendre la saison 3 de Better Call Saul pour que Jimmy se transforme peu à peu en son alter ego Saul Goodman. Et après les bons coups de crasse de son frère, Chuck, le pauvre Jimmy perd sa licence d’avocat pour un an. Le roi de la débrouillardise va donc petit à petit laisser sa facette d’arnaqueur sortir, quitte à perdre sa plus fidèle clientèle jusque là : les retraités.
3- So long, Chuck
Il commençait à nous taper sur les nerfs. Il faut dire que la palme du personnage le plus ingrat de la série revient largement à Chuck, qui hait son frère parfois gratuitement. Parfois. Quoi qu’il en soit, la guerre Chuck/Jimmy ne pouvait que mal finir et évidemment, la maladie du patron de HHM a fini par être utilisée contre lui. Le pauvre bougre n’a pas supporté qu’on le sorte doucement de la boîte qu’il avait créée il y a des années. Il décide donc de mettre le feu à sa propre maison dans les dernières minutes du final. On sait déjà que Jimmy ne se remettra jamais du décès de son grand frère.
Un final sordide et bien rythmé pour Better Call Saul qui nous confirme bien que cette saison 3 est de loin la meilleure de toutes. Vivement 2018.
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Aurelia Baranes
Co-fondatrice - Directrice de Publication