Ares : la fin de la saison 1 de la série Netflix expliquée
Publié le Par Marion Le Coq
Si vous avez bingé la saison 1 d’Ares ce week-end, vous vous demandez peut-être ce que signifie la fin du dernier épisode pour Rosa. Explications.
Il n’y a pas que la saison 2 de Sex Education qui est sortie sur Netflix vendredi 17 janvier, il y a aussi Ares, une série horrifique néerlandaise qui vous plonge dans une société secrète pleine de mystères. La saison 1 se termine d’ailleurs sur une séquence glaçante qui donne place à l’interprétation et laisse les fans plein de questions.
Après être montée rapidement dans les rangs d’Ares, Rosa doit faire face à une dernière épreuve pour devenir présidente, lorsque Carmen ne peut se résoudre à accomplir la sienne. Rosa découvre alors le grand secret de la société, à savoir que le « monstre » est en réalité toute la culpabilité et le mal fait par les membres d’Ares au fil des années sous forme d’un liquide noir appelé le Beal.
Rosa est-elle le « monstre » ?
Mais au lieu de déverser sa propre culpabilité, après avoir sacrifié son meilleur ami Jacob pour accéder au statut de présidente, Rosa plonge dans le Beal, toujours déterminée à le libérer et détruire Ares. En acceptant la culpabilité, Rosa défait le Beal de ses chaînes et devient alors ce “monstre” que les autres membres d’Ares redoutent tant : un rappel de tout le mal qu’ils ont fait.
C’est pour cette raison que Mauritz fuit devant elle et que les autres se suicident un à un sur son passage. Seules les personnes ayant fait la paix avec leur culpabilité et actions passées ne sont pas effrayées par le Beal, qui fait maintenant partie de Rosa.
On peut alors se demander ce que signifie la libération du “monstre” pour les Pays-Bas – étant donné que c’est lui qui a permis au pays d’acquérir un tel pouvoir, et comment Rosa compte diriger Ares maintenant qu’elle en est à sa tête.
Outre ces deux questions, d’autres mystères subsistent, comme celui de la vieille femme qu’on aperçoit à la fin, et on espère alors que Netflix donnera une saison 2 à Ares afin de mettre en lumière ces derniers points d’ombre.
Marion Le Coq
Journaliste